La nature aux 2 Alpes ... en Isère (juillet 2021)    page 2/4

Avec Yves ... Gaëlle, Yohann, Loïc, Timéo, Hugo

Une envie d'aller voir plus loin que mon balcon au-dessus de l'Oiselon ...

Le mardi 27 juillet 2021.



Quelques emplettes avant de partir ...

pour le village de La Grave ! peuplé par les Gravarots.

Première préoccupation : s'installer en terrasse pour un café matinal ...
avec vue sur la Barre des Écrins.


Même vue, mais plus "dilatée" !
On remarque la teinte beige à la surface de la neige ... du sable importé du Sahara !

Juste une halte touristique avant la marche ...


Notre départ de promenade ...



L’Hespérie de la houque,  ou Bande noire, Thymelicus sylvestris, de la famille des Hesperiidae.

Une photo, juste pour saluer sa présence !

Un mâle du Criquet des Genévriers, Euthystira brachyptera *, de la famille des Acrididae.
* Brachyptère qualifie un animal qui dispose d'ailes de taille réduite.

Rares orchidées encore fleuries ...
Orchis tacheté, Dactylorhiza maculata et Orchis moucheron, Gymnadenia conopsea.

Une "possible" femelle de la Tipule à ailes cendrées, Tipula lunata.

Une femelle de l'Épeire feuille de chêne, Aculepeira ceropegia, de la famille des Araneidae.


ça monte, mais le paysage, le bon air, la nature font que l'effort est très supportable et supporté.



Avec les écailles très usées (frottées disent certains), difficile de se prononcer sur une espèce ...

Perplexe !

Le Demi-deuil, Melanargia galathea, de la famille des Nymphalidae.

Fleurs en passant ... en haut à droite, un genre d'Ononis.

Un autre Dectique verrucivore, Decticus verrucivorus, de la famille des Tettigoniidae.

L'Arcyptère bariolée, Arcyptera fusca, de la famille des Acrididae.

Toujours ces Tipules, dont la détermination demande de suivre des clés ... trop détaillées !


Enfin, l'arrivée à notre destination méridienne ... le Lac du Pontet.

On va pouvoir se sustenter, se poser, vadrouiller aux alentours.



Un mâle du Portecoupe holarctique, Enallagma cyathigerum, de la famille des Cœnagrionidae.

Un mâle de la Libellule à quatre taches, Libellula quadrimaculata, de la famille des Libellulidae.

Une autre Hespérie du Dactyle, Thymelicus lineola, lépidoptères de la famille des Hesperiidae.


On peut effectivement préférer les plages du sud de la France ... mais ici quand même ! ! c'est moins plat.

Forme terne, pour cette femelle immature de Portecoupe holarctique, Enallagma cyathigerum.

Et mâle mature de cette même espèce.

Un "possible" mâle de la Tipule à ailes cendrées, Tipula lunata.

Larinus turbinatus, coléoptère de la famille des Curculionidae.
Ces charançons sont originaires du Caucase, et désormais présents en Europe méridionale.

Tout juste émergé de son enveloppe larvaire ... un jeune mâle de Portecoupe holarctique.

Le Pennipatte bleuâtre, Platycnemis pennipes, de la famille des Platycnemididae.

Un peu plus lointain, un oiseau venait régulièrement se percher ...
Le Traquet motteux, Oenanthe oenanthe, de la famille des Muscicapidae.

Pour vous montrer cet oiseau, ici sur le Causse Méjean le 6 septembre 2018.


Une femelle de l’Azuré de l'ajonc, ou Petit argus, Plebejus argus, de la famille des Lycaenidae.

Deux générations dans l'année ...
Ses chenilles se nourrissent sur diverses Légumineuses, Hélianthèmes, Bruyères ...

Éventuellement on peut supposer être en présence d'une jeune Araneus quadratus.
L'Épeire à quatre points.

Une de ses victimes, un perce-oreille, ou forficule ?


Nous repartons vers de nouveaux sommets ...



Le Lepture à suture noire, Stenurella melanura, de la famille Cerambycidae.

L'Agélène à labyrinthe, Agelena labyrinthica, de la famille des Agelenidae.
Pas facile de la surprendre sans qu'elle se replie dans son refuge !

L'Abeille européenne, Apis mellifera, de la famille des Apidae.

La Joubarbe des montagnes, Sempervivum montanum, de la famille des Crassulaceae.

Encore un mâle du Dectique verrucivore, Decticus verrucivorus.

La Gentiane jaune, ou Grande gentiane, Gentiana lutea, de la famille des Gentianaceae.

Une plante typique des massifs montagneux, des Pyrénées aux Vosges, en passant par le Bugey !

"Il faut sept à dix ans avant la récolte.
À l'aide d'une fourche spéciale, on arrive à sortir 200 kg de racines par jour
 de mai à octobre. Environ 2.000 tonnes sont utilisées chaque année pour l'artisanat et l'industrie."
futura-sciences.com

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Naturellement vôtres
Yves et Loïc